Et voici en exclusivité la critique du film, à paraître dans le prochain Astrubrama:Dans ce nouveau chef d'oeuvre du 7ème art, MegaKouyu explore enfin les relations mysticotranscendantales entre la réalité contextuelle sous jacente du Zzzlip du héros (appelé parfois bijoux de famille) et son double psychique sublimé, représenté par le contenu du coffre malveillant.
La quête du personnage principal, objet principal d'une Kam Héra inquisitoriale et audacieuse, reprend le fameux mythe du voyage initiatique sadidomorphéen, qui n'est autre qu'une redécouverte intime de son ego intérieur.
Le réalisateur a parfaitement su retranscrire, par quelques prises de vue novatrices, les boulversifiantes aventures BarouMesques du héros, qui vont pour toujours amener son esprit vers des sphères d'hyperéalisme formel à travers la prise de conscience de la nature réelle de la taille des bijoux sus-cités.
Ainsi, il va successivement affronter et maîtriser ses instincts animaux issus de ses vies antérieures, incarnés par des Porcos complètement extravertis
, et sa peur de la mort, représentée par le personnage du mineur
, dont la demeure souterraine n'est autre que la transfiguration symbolique de l'angoisse de la mise-en-bière
.
Il faudrait avoir un coeur de Bwork pour ne pas être ému par la scène finale, ou MegaKouyu ouvre enfin le coffre qui donne son nom au film, et s'assume enfin comme un véritable Sadida, acceptant le "drop pourri" qu'il reconnait comme étant le sien et qui habite son Zzzzlip, tout en lui donnant un poil les boules, au sens cérébroprimal du terme bien entendu.
Ce film, qui fera date dans l'histoire de l'art, révèle de plus le talent tout en retenu d'une jeune actrice encore peu connue, "belle rousse", et qui est promise à un bel avenir.
Nul doute que le jury du prochain festival de Cania lui décernera l'Os-K'Art du Chafer d'Or.